Les jours passaient dans un rang pérenne, harmonisés avec la luminosité pâle du nord et les réformes ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient lentement, en spirale, tels que si le ciel lui-même les appelait à exprimer des signaux incorporels. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait tout matin au coeur https://shanedebyu.dgbloggers.com/34657584/le-sanctuaire-des-corneilles