Les ruelles de Florence résonnaient technique du chahut des peuple rassemblés qui entourent la majeure sa place. Les cloches tintaient d’un son grave, affichant la volupté pieuse qui embrasait la grande ville. Dans l’ombre des colonnes, un être humain observait les flammes vacillantes d’une lanterne, ses yeux reflétant l’éclat incertain https://sergioigzof.angelinsblog.com/33239794/l-embrasement-du-destin