À Bucarest, les toits de cuivre oxydés luisaient d’un beauté terne par-dessous les premières pluies d’octobre. Dans un maison excentré, à l’abri de certaines regards, une femme nommée Daciana avait transformé une brique spécifique en sanctuaire vibratoire. Spécialiste en radiesthésie depuis l’adolescence, elle manipulait son pendule avec une précision qui https://zionsgqai.p2blogs.com/32986018/la-spirale-inversée