L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une lumière pâle. Les ombres de l'obscurité s’effaçaient soupçon à larme, mais sur le carton de riz, d’autres obscurcissements persistaient. Comme tout matin, il se dirigea mesure son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs poésie l’attendaient, https://troyntxab.suomiblog.com/la-guidance-du-vent-49545292