Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du surnom d’Orhan découvrit un objet particulier parmi ses neuves acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en objectif, mélancolique et adroitement modelé, décoré d'ornements indéchiffrables qui semblaient danser sous l'éclairage des lampes à huile. Aucun souvenir de l’avoir acheté, zéro https://arthurjbres.mybloglicious.com/54152644/l-éclipse-des-chroniques