Le scribe fixait les restes noircis du parchemin consumé. Malgré la température, il n’en détournait pas les yeux. Dans les cendres, il voyait encore les contours de sigles disparues, des clarivoyants de noms effacés par une acception qu’il ne comprenait pas. Le feu, cependant destructeur, avait révélé une réalité insaisissable https://juliuskkdth.blogars.com/32740219/le-rond-brisé