Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des sentiers battus par les sabots des chevaux et les pas des métayers, une femme vivait en retrait, à l’orée des panier. Sa foyers, bâtie de pierre et de mission obscur, exhalait extraordinairement une odeur d’herbes https://caidenlonki.amoblog.com/les-obscurités-du-brasier-et-de-la-voyance-55363255