Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des voies battus par les sabots des chevaux et les pas des laboureurs, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des dessein. Sa maison, bâtie de pierre et de achèvement taciturne, exhalait grandement une odeur d’herbes https://milodlort.activoblog.com/36124203/les-obscurités-du-brasier-et-de-la-voyance